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Il était une fois un petit sapin qui brûlait d'impatience de grandir, de devenir aussi grand et aussi beau que les majestueux sapins qui l'entouraient. Où allaient-ils ainsi ces arbres somptueux qu'à l'approche de Noël, les bûcherons
venaient couper et emporter dans leurs charrettes ?
Son tour viendrait-il enfin ? Le sapin était si préoccupé à attendre et à espérer qu'il ne profitait ni des rayons du soleil ni de la fraîcheur de l'air...

Chien Pourri et son ami Chaplapla rêvent de vacances à la plage. La colonie des oubliés leur offre une place. Au programme : ramasser les détritus sur la plage, manger des glaces au sable, etc.

Chien Pourri a plusieurs fois failli s'empoisonner parce qu'il ne sait pas lire les étiquettes. Mais aujourd'hui, Chien Pourri va à l'école.

Chien Pourri est bête et laid, il sent la sardine, il est couvert de puces et son pelage est rapé. Ce qu'il souhaite le plus au monde c'est trouver un maître. Alors il part à sa recherche. Hélas le monde est envahi de pièges.

A partir de 6 ans

Chien Pourri et Chaplapla grelottent dans leur poubelle. Lorsque Chien Pourri trouve une annonce pour devenir chien de traîneau, les deux amis partent à l'aventure aux sports d'hiver. ©Electre 2017

Tadaaam ! Chien Pourri et Chaplapla vont au cirque. Mais pas n’importe lequel : au cirque Patalo, les acrobates sont plâtrés, les jongleurs maladroits, les éléphants bidons et les clown pas drôles. Mais la concurrence fait rage et le cirque Carbonara est bien décidé à leur voler la vedette. Patalo ou Carbonara, Chien Pourri et Chaplapla vont devoir choisir.

Se promenant dans la forêt la petite fille aux bottes rouges, accompagnée de son chien bien tranquille, endort l’un après l’autre les animaux qu’elle rencontre. Elle leur chantonne tout doucement un petit poème rimé adapté à chacun et les croque dans son carnet à dessin.

Ferdinand Popon et son copain Basile Tambour, dit Bogueugueu parce qu'il bégaie, partent, le temps d'une journée, visiter Londres avec leur classe. Bogueugueu, étourdi, oublie de descendre du bus alors que toute la classe s'apprête à visiter le British Museum. Pour son professeur d'anglais, c'est le début d'une course-poursuite à travers la ville pour le retrouver.

Basile Tambour, le nouveau de la classe, est bègue. Ses camarades l'ont surnommé Bogueugueu. Basile a beau supporter les railleries, il finit par craquer le jour où il est obligé de monter sur l'estrade pour la pièce de théâtre. Tout le monde prend alors conscience de sa souffrance.

Ferdinand Popon et son copain Basile Tambour, dit Bogueugueu parce qu'il bégaie, se sont donné rendez-vous pour faire ensemble leur rentrée en sixième. Très anxieux de son handicap, Bogueugueu simule une extinction de voix pour ne pas avoir à décliner lui-même son identité devant la classe.

L'hiver est fini, c'est le printemps. Chaque petit animal s'éveille et sort de sa cachette afin de se dégourdir les pattes ou les ailes et de trouver de quoi manger.