Dans ce monologue, Pino Cacucci donne la parole à Frida Kahlo. Quelques jours avant sa mort, elle revit sans complaisance ses tourments, sa solitude, ses moments de désespoir surmontés à force de volonté. Elle évoque ses relations orageuses avec le peintre muraliste Diego Rivera, l'homme de sa vie, et explique sa passion pour "son" Mexique. Elle revient également sur ses idéaux politiques, son amitié avec Léon Trotski et ses innombrables liaisons.
Une vie débordante d'excès, débordante de couleurs, comme sa peinture qu'elle a commencé alors qu'elle était clouée au lit. Une vie de rebelle qui, bien que née en 1907, aimait à dire qu'elle était née en 1910, avec la Révolution mexicaine.